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Moins capricieuse qu’une clématite, aussi volubile qu’une glycine, la Bignone ou Campsis parfois nommée « Trompette de Jéricho » est une plante grimpante originale et vigoureuse. Au jardin, on l’appréciera pour son exubérante floraison orange éclatante, durant tout l’été et son joli feuillage qui reste semi-persistant à la faveur d’un hiver doux. Le spectacle est féerique de juin à septembre-octobre !
Généreuse, la Bignone peut atteindre rapidement une taille allant jusqu’à 8 à 10 m de hauteur à l’âge adulte.
Habituellement de couleur rouge orangé, les fleurs de Bignone exhibent chez les nouveaux cultivars des teintes orange saumoné ‘Indian Summer’, ou rouge vif ‘Stromboli’ du plus bel effet dans un jardin.
Pleines d’ardeur, ses tiges s’accrochent toutes seules à tout ce qui est à leur portée, transformant en peu de temps le moindre support, en tableau luxuriant. Elle est idéale pour habiller murs, pergolas et clôtures ou grimper à l’assaut d’un arbre.
Cette liane volubile aux allures exotiques est à facile à cultiver en climat doux ou en bord de mer, bien qu’elle résiste à de courtes périodes de gel, jusqu’à -10°C en moyenne, parfois bien davantage pour peu qu’elle soit exposée au sud et paillée en hiver.
Elle s’adapte à tous les sols pas trop secs et demande vraiment peu d’entretien, ne craignant que les fortes gelées.
De la bouture à la taille de la Bignone, découvrez cette belle fleur grimpante qui séduit par son originalité e sa floribondité !
La Bignone ou Campsis, nommée « Trompette de Jéricho » de la famille des Bignoniaceae, rassemble de vigoureuses plantes grimpantes originaires des forêts des régions chaudes et sèches du sud-est des Etats-Unis, de Chine et d’Amérique du Nord.
Autrefois classée dans le genre Bignonia, elle appartient désormais au genre Campsis, qui comprend environ 120 genres et 725 espèces. Le genre Bignonia ne comprend plus qu’une seule espèce, la Bignonia capreolata.
Parmi les espèces les plus répandues dans nos jardins, on trouve la Campsis grandiflora, la bignone à grandes fleurs avec ses fleurs en larges trompettes évasées d’un orange-rouge très vif, mais qui offre peu de crampons d’accroche, la Campsis radicans, la bignone commune ou Bignone de Virginie ou « Jasmin trompette » (un autre de ses surnoms) qui s’accroche très facilement, la Bignonia capreolata, également appelée Bignone à vrilles avec ses longues trompettes odorantes, Campsis (x) tagliabuana, issue du croisement entre le Campsis radicans, et le Campsis grandiflora et la Bignone rose (Podranea ricasoliana), un grand arbuste sarmenteux à palisser originaire d’Afrique du Sud et du Zimbabwe.
De nombreuses variétés et hybrides ont été développés comme Campsis radicans ‘Indian Summer’, un Campsis très rustique.
La bignone est une liane à souche ligneuse de croissance rapide à fulgurante (1 m par an) pouvant former en quelques années seulement, un beau buisson de 8 à 10 m de hauteur en tous sens, parfois davantage. Cette vigoureuse grimpante forme des racines aériennes pour s’arrimer à ses supports. Selon les espèces, la plante s’accroche plus ou moins facilement, à l’aide de ses vigoureux rameaux sarmenteux munis de vrilles ramifiées, qui adhèrent sur les surfaces comme de puissants crampons, à la manière du lierre.
Son feuillage caduc ou persistant en climat pas trop frais, abondant, apporte une certaine luxuriance à la plante et met en valeur les couleurs exotiques et les formes voluptueuses des fleurs. Porté par des tiges raides, il est composé de feuilles opposées parfois longues jusqu’à 25 cm, pennées, oblongues à lancéolées, finement découpées en folioles dentées ou crénelés. Chez la plupart, les deux feuilles supérieures sont terminées par des vrilles fines, permettant à la plante de s’accrocher.
Vert franc à vert sombre, parfois jaune au revers, il se pare de reflets violacés en hiver chez le Campsis capreolata ou prend de somptueuses teintes jaune d’or à l’automne.
Le feuillage disparaît presque entièrement sous l’avalanche de ses fleurs. La Bignone est l’une des lianes décoratives les plus spectaculaires pour la belle saison. La floraison aux couleurs chaudes est abondante dès les premières années de culture. Très étalée, elle dure tout l’été et peut commencer en avril au sud de la Loire et se poursuivre jusqu’en automne, selon le climat ; la floraison est optimale en climat doux.
La végétation buissonnante se pare d’une profusion de larges trompettes s’évasant en 5 lobes. Longues de 4 à 8 cm de long, jusqu’à 10 cm de diamètre chez la Bignone à grandes fleurs, elles se déploient en bouquets denses ou en grandes panicules, de deux à plus de 20 fleurs à l’extrémité des ramifications secondaires.
Orange mandarine très vif, jaune d’or, rouge écarlate à vermillon, pâlissant en abricot, rose saumoné, parfois bicolores ou panachées de rouge-orangé, ces corolles diffusent parfois un parfum unique, évoquant à la fois le chocolat et le café torréfié.
Chacune dévoile une belle gorge contrastée où se nichent de longues étamines. Cette floraison est suivie par la formation de gousses vertes allongées renfermant les graines de Bignone.
Le Campsis est une grimpante de soleil ! Très facile de culture, elle parvient à pousser dans tout sol profond et correctement préparé, même calcaire, frais et bien drainé. Rustique jusqu’à-10°C (jusqu’à -15 à -20 °C pour Campsis radicans), elle a besoin pour bien fleurir, d’une situation ensoleillée à l’abri des vents et des courants d’air froids.
La bignone est la plante idéale pour couvrir un mur, une clôture inesthétique bien exposée, un tronc d’arbre ou tout simplement pour habiller une tonnelle ou une pergola. Non palissée, elle peut aussi former un couvre-sol original.
Certaines variétés plus compactes peuvent réussir dans un grand bac pour fleurir les terrasses et les balcons.
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Tailler les bignonesCe genre comprend peu d’espèces grimpantes et on cultive essentiellement dans nos jardins, Campsis grandiflora ou Bignone à grandes fleurs, la plus connue du genre avec ses grappes de fleurs en trompettes de 8 à 10 cm de diamètre, écarlates ou orange, le Campsis radicans, le « jasmin de Virginie » aux longues trompettes jaunes, rouges ou oranges, qui s’accroche très facilement à n’importe quel support.
On trouve aussi les Bignones hybrides (Campsis (x) tagliabuana et la série des bignones Summer Jazz®) sélectionnées pour leur développement très réduit, adapté aux petits espaces mais aussi à la culture en pots, leur belle résistance au froid, et leur floraison assez exceptionnelle.
Bignonia capreolata est une espèce peu rustique (-5°C°) à la floraison parfumée qui peut atteindre 20 m de haut dans la nature.
Il existe de nombreux cultivars à la floraison rouge sang comme la Campsis radicans ‘Stromboli’ ou plus compacts et plus rustiques comme ‘Indian Summer’ ou encore bicolores ‘Orangeade’
Les principaux critères de choix sont la couleur des fleurs, la hauteur à l’âge adulte et la rusticité variable selon les variétés.
Si elle est dotée d’une assez bonne résistance au froid, supportant jusqu’à -10°C en moyenne, parfois davantage selon l’espèce et les conditions de culture, la Bignone s’installe de préférence dans les régions où les hivers sont assez cléments. C’est une plante vigoureuse mais les fortes gelées et les vents glacés sont à éviter. La série des bignones Summer Jazz®, sont plus résistantes au froid.
Dans les régions froides, elle doit impérativement être plantée en situation abritée au sud, le long d’un mur bien exposé ou contre un arbre, à l’abri des vents froids et desséchants de l’hiver qui abîment sa floraison et qui peuvent provoquer la chute prématurée des boutons floraux.
En exposition abritée, la plante repartira de la souche après avoir été endommagée par le gel. Elle résiste bien face aux embruns des jardins de bords de mer.
Elle a besoin du plein soleil pour bien fleurir. Dans le sud de notre pays, elle acceptera la mi- ombre. Le Campsis radicans ‘Indian summer’, rustique jusqu’à -15°C, est la forme qui réussit le mieux à mi-ombre dans les régions peu ensoleillées du Nord de la Loire.
Peu exigeante sur la nature du sol, elle s’accommode de toute bonne terre de jardin, bien drainée, même calcaire mais surtout pas trop humide : elle craint les sols lourds, compacts et gorgés d’eau. Elle apprécie cependant mieux une terre fertile et suffisamment profonde. Elle aime les sols restant frais, mais en vieillissant elle supportera parfaitement une terre ponctuellement sèche en été. En sol fertile et frais, sa croissance sera décuplée et sa floraison, très abondante.
La Bignone s’utilise de mille façons dans un jardin de climat doux. Dotée d’une croissance rapide à lente selon les variétés, c’est un bon couvre-mur. Elle trouve sa place dans tous les jardins, même les plus petits, selon les variétés.
Lorsqu’elle n’est pas guidée sur un support, elle peut former une belle masse buissonnante au-dessus d’un muret ou sur un talus où elle formera un couvre-sol original.
→ Découvrez les raisons pour lesquelles une bignone ne fleurit pas !
Plantez la Bignone au printemps, de mars à mai, ou en automne en climat doux.
Pour habiller un mur ou une clôture bien exposés, installez un plant de Bignone tous les 3 à 4 m, sinon respectez une distance de plantation avec les autres végétaux d’1 à 2 m. La plupart des bignones (exceptée le Campsis radicans qui développe des crampons suffisamment puissants pour lui permettre de se hisser sans aide) ont besoin d’un treillage ou d’un tuteur pour guider leurs premiers pas. Si la terre de votre jardin est trop lourde, faites un apport de de gravillons au fond de la fosse.
Certaines bignones (Podranea ricasoliana) peuvent être conduites en arbre à la façon d’une glycine, ce qui peut s’avérer utile pour une culture en pot.
Culture en pot
Certaines variétés, plus compactes et rustiques, comme la Bignone Indian Summer, les bignones hybrides (Campsis x tagliabuana ‘Summer Jazz Fire’) conviennent aux petits espaces et à la culture en grand pot. Plantez dans un mélange bien drainant de terreau de feuilles, de terre de jardin et de sable grossier. Fertilisez régulièrement, rempotez tous les 3 ans et taillez régulièrement la Bignone afin de contenir son développement. Maintenez le sol frais en été, paillez copieusement en hiver ou rentrez les potées à l’abri des fortes gelées dans les régions froides.
→ En savoir plus sur la culture de la bignone en pot dans notre fiche conseil
Peu contraignante, la Bignone demande vraiment peu d’entretien, ne craignant que les fortes gelées. Elle demande juste à être protégée du froid lors des premières années de culture. C’est bien là son seul point faible !
Palissez au fur et à mesure les jeunes rameaux incapables de s’accrocher à leur support, jusqu’à ce que la plante le fasse seule.
Arrosez régulièrement les premiers étés.
Maintenez son pied au frais grâce à des vivaces couvre-sol ou un paillis, surtout en cas de sécheresse prolongée et durant les 3 premières années après la plantation. Elle supportera bien le manque d’eau une fois établie.
Renouvelez ce paillis avant l’hiver ; les premières années de culture, protégez la souche des fortes gelées.
Au printemps, apportez une bonne couche de compost au pied pour favoriser la floraison et maintenir la fraîcheur du sol.
Les bigognes en pot, ont besoin d’apports d’engrais et d’arrosages régulièrs durant la belle saison. En hiver, protégez le pot ou rentrez-le à l’abri.
Rempotez tous les 3 ans, lorsque la bignone montre des signes d’épuisement.
La taille n’est pas indispensable, mais elle peut s’avérer nécessaire si votre bignone devient envahissante : c’est une plante pleine d’ardeur dont il faut parfois contenir la croissance ! Elle permet de maintenir un port compact et équilibré, favoriser la croissance et stimuler la floraison. Une taille annuelle évitera également que la plante ne se dégarnisse de la base.
Taillez la Bignone en fin d’hiver, entre février et mars, avant la reprise de la végétation. En août-septembre, supprimez juste les rameaux défleuris. La bignone ne doit pas être taillée à l’automne.
Plus la taille sera sévère, plus votre Bignone sera vigoureuse et florifère ! Si les branches sont desséchées dans leur tiers supérieur, ce qui est un phénomène normal, c’est qu’il est temps de tailler.
→ En savoir plus sur la taille de la bignone en arbre dans notre fiche tuto. Vous êtes peut-être envahi par votre bignone : découvrez les conseils d’Alexandra pour se débarrasser d’une bignone.
La Bignone est rarement malade et présente une bonne résistance. Les cochenilles farineuses, les pucerons, les araignées rouges, la cicadelle blanche, et l’oïdium sont ses principaux ennemis. Ces attaques sont rarement redoutables.
Reconnaissables aux amas blancs cotonneux qu’elles laissent sur le feuilles, les cochenilles farineuses s’éliminent avec un coton imbibé d’alcool à 90°C, puis avec des pulvérisations d’huile de colza à renouveler deux ou trois fois à 15 jours d’intervalle.
Des pulvérisations d’eau savonneuse pourront suffire à déloger les pucerons.
Contre les araignées rouges, fréquentes en été, pulvérisez une macération d’ortie.
Les bignones sont souvent très visitées par les fourmis, généralement sans dommage pour la plante.
→ En savoir plus sur les maladies et parasites de la bignone dans notre fiche conseil
Le bouturage n’est pas évident pour un amateur car l’enracinement est assez long.
Si le bouturage est possible, le marcottage au printemps reste, selon nous, la méthode la plus simple.
→ En savoir plus sur le bouturage de la Bignone dans le tuto de Solenne
La bignone est une vigoureuse grimpante qui se porte bien en isolé, elle habillera d’une note exotique tout support mis à sa disposition. Dans les jardins de climat doux, elle peut être cultivée contre un mur où elle fleurira souvent plus abondamment ou enlacer de grands arbustes ou de petits arbres.
Les variétés les plus compactes (Campsis x tagliabuana) formeront un arbuste extraordinaire au milieu d’un massif, devenant le point focal d’un petit jardin.
Ses fleurs habituellement de couleur rouge orangé s’accordent bien avec des couleurs chaudes et des feuillages bronze.
Dans des compositions plus contrastées, mariez-la aux fleurs bleues d’une Clematis viticella ‘Sunny Sky’, au Sollya heterophylla, une jolie ipomée.
Si les Bignones se marient bien entre-elles, pour réaliser une scène haute en couleurs, associez-la à d’autres plantes grimpantes originales comme l’Akebia quinata, l’Actinidia kolomikta ou Kiwi d’ornement, l’Holboellia latifolia.
Elle se marie efficacement avec des feuillages chartreux, comme le lierre, le houblon et le Catalpa doré ainsi qu’avec une Clematis grenat ‘Cardinal’ou des vignes pourpres.
Elle se faufilera admirablement dans un Eleagnus.
Les teintes automnales d’un Cotinus ou arbre à perruques seront assorties à la couleur d’une floraison tardive d’une Campis radicans ou Bignone de Virginie.
On peut installer à son pied, des vivaces ou des petits buissons comme les sauges arbustives, un Cerastostigma aux petites fleurs bleues, des hémérocalles, des gauras, des asters, des euphorbes.
Ma bignone ne fleurit pas, pour quelles raisons?
La Bignone aime la chaleur et a besoin d'une exposition très ensoleillée pour bien fleurir. Il est possible que l'exposition ne soit pas assez lumineuse. Plantez donc votre bignone sur un mur exposé au sud pour garantir une bonne floraison. Votre terre est également peut-être trop riche en azote, ce qui favorise le développement du feuillage au détriment des fleurs. Enfin, sachez que les sujets greffés fleurissent plus rapidement.
Nathalie Destin, le 8 Avril 2018
Bonjour,
En promenade avec mes enfants, j’ai récupéré une « gousse » de bignone. Nous l’avons ouverte pour regarder puis avons fait germer les graines. Cela a vraiment bien fonctionné mais maintenant j’ai quelques plants de 20/30cm environ. Ont ils une chance de grandir en pleine terre? La tige me semble bien frêle...
Merci pour vos conseils
Réponse de Ingrid, le 9 Avril 2018
Bonjour !
Bravo pour ce semis. Je vous conseille de les mettre dans des pots plus grands, à l'extérieur, pour qu'il fortifient pendant encore quelques mois avant d'être plantés au jardin.
A très bientôt pour des nouvelles de vos "bébés bignone".
Cordialement, Ingrid
ROUSSY, le 1 Juillet 2018
Nous avons une bignone qui donnait des fleurs en abondance tout l'été. Comme elle est sur une grange et monte sur le toit, Mon mari la taille régulièrement et sévèrement chaque année en Février ou Mars. Depuis deux ans, elle fleurit peu. Est-ce dû à une taille trop sévère ?
MERCI
Réponse de Pierre Lefebvre, le 7 Août 2018
Bonjour, la bignone fleurit sur les rameaux de l'année donc logiquement une taille en février/mars ne supprime pas la floraison, il n'y a donc aucune raison que la plante ne fleurisse plus, cependant il est certain que si la plante est plus petite et avec moins de rameaux alors elle a moins de fleurs également, essayez peut être de tailler moins sévèrement l'année prochaine pour observer ce qui se passe.
Cordialement
Pierre
Stolz Bernard, le 8 Juillet 2018
Merci pour toutes ces informations,ma plante n’a malheureusement pas encore fleuri,mais vais suivre vos conseils pour la suite
Marie-Jo, le 13 Juillet 2018
@Nathalie, il faut 3 ou 4 ans avant qu'une bignone fleurisse. Elle va plus ou moins croître de 30 cm par an. Mais votre patience sera récompensée. Pensez que ma grand-mère en a planté une qui nous ravit encore 80 ans plus tard et qui n'est pas une petite chose, tronc de plus de 20 cm de diamètre, floraison magnifique tout l'été encore aujourd'hui.
Si la tige est frële vous la rabattez un peu. Patience, patience sers superbement récompensée. Good luck.
Marie-Jo, le 13 Juillet 2018
@Nathalie, j'aurais dû ajouter qu'une bignone doit être en plein soleil, ou contre un joli mur chaud pour être en top forme.
A 400-500 cm d'altitude ou moins, OK. Plus haut, il faut pailler ou protéger en début d'automne (surtout les 2-4 premières années) même si certaines variétés tiennent à moins 20 degrés et en général à moins 10.
De même on pose quelques accroches les premières années, Par la suite, la plante se débrouille. Après ces précautions de départ, vous ne serez que ravie.
sandrine, le 29 Juillet 2018
bonjour,
j'ai planté il y a 2 ans une bignone "Stromboli" qui a fleuri la première année puis a disparu l'an dernier. cette année, des pousses sont réapparues et semblent vigoureuses, plus que celles de la plante d'origine, déjà 2 mètres de long.... Est il possible que ce soit "Stromboli" qui ressuscite ou bien s'agit il du porte greffe?
Merci pour votre blog très utile et avec des articles toujours très sympas!!
Réponse de Pierre Lefebvre, le 7 Août 2018
Bonjour,
C'est certainement "stromboli" qui repousse, ces plantes ne sont pas greffées (en tous cas pas chez nous). Attendez la floraison pour avoir la confirmation.
Cordialement
Pierre
Walbaum, le 8 Septembre 2018
Bjour
Nous avons une enorme bignone de 50 ans vigoureuse et fleurie sur 10 mt de haut
Nous sommes obligés perpétuellement de couper des rejets dans les plates bandes qui refont surface et étouffe les autres plantes
Pour une action définitive, Si j’applique sur ces rejets un produit sur les feuilles pour les tuer, ne risque je pas de tuer l’ensemble de la plante?
Ou une autre solution ?
Merci
Réponse de Virginie, le 17 Septembre 2018
Bonjour Patrick,
Si votre bignone drageonne autant, c'est peut-être une Campsis radicans ? Je vous déconseille le produit pour supprimer les rejets. Dans l'absolu, mieux vaut les enlever à la pioche afin de les déraciner, les couper ne sert à rien.