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Bien que peu sensible aux ravageurs et aux maladies, le callistemon peut souffrir de certaines affections, le plus souvent dues à ses conditions de culture. Par exemple, les attaques parasitaires sont plus fréquentes lorsque le sujet est cultivé en serre.
Découvrez ici comment identifier, prévenir et traiter naturellement les maladies et parasites du callistemon.
Le callistemon peut être atteint de chlorose en présence d’un sol trop calcaire, ou en cas d’excès d’eau. Il s’agit là d’un dérèglement dans le métabolisme de la plante qui trouve une solution grâce au rééquilibrage du substrat de culture.
Lorsque le rince-bouteille est atteint de chlorose, ses feuilles prennent une teinte blanc jaunâtre qui s’explique par la disparition progressive de la chlorophylle, elle-même à l’origine de la couleur verte du feuillage des plantes.
Le callistemon peut être affecté par le champignon Cylindrocladium scoparium. Naturellement présent chez les myrtacées, ce pathogène hiverne sous forme de microsclérotes et peut survivre plusieurs années dans le sol ou sur les tissus végétaux infectés. Les températures élevées, couplées à une forte humidité et de fortes précipitations, offrent les conditions idéales pour son développement.
Chez le rince-bouteille, Cylindrocladium scoparium peut provoquer des taches sur le feuillage de la plante, ainsi que des nécroses de la tige.
Les araignées rouges, Tetranychus urticae, font partie des principaux ravageurs du rince-bouteille. Appartenant à l’ordre des Acariens, les araignées rouges sont de véritables parasites qui se nourrissent des tissus et de la sève du callistemon.
La présence de soies sur le feuillage du rince-bouteille est un bon indicateur de la présence d’araignées rouges. Ces soies, lorsqu’elles sont produites par une colonie importante d’acariens, semblent très similaires à des toiles d’araignées. Autre symptôme, les feuilles du callistemon se constellent de taches blanches ou jaunâtres et finissent par se dessécher totalement avant de tomber. Attention, en cas d’attaque de grande ampleur, la plante peut très vite succomber, ne pouvant plus assurer sa photosynthèse.
La cochenille farineuse pond ses œufs sur le feuillage du callistemon, qui une fois éclot, les larves se nourrissent de la sève de la plante. Les cochenilles apprécient notamment les milieux confinés, chauds et humides, comme les serres.
La cochenille farineuse se repère facilement sur les tiges ou sur les feuilles, où elle forme des amas cotonneux, farineux ou cireux. Les rameaux du rince-bouteille s’affaiblissent alors progressivement par manque de sève.
Les larves de tenthrède, petits hyménoptères dénommés mouches à scie, ravagent littéralement le feuillage du rince-bouteille, allant jusqu’à l’affaiblir au point d’en ralentir considérablement la croissance. Les fausses chenilles sont actives entre les mois de mai et d’octobre.
On reconnaît une d’attaque de larves de tenthrède aux nombreuses perforations et découpes qui apparaissent sur les feuilles, voire à la disparition pure et simple des pousses terminales des rameaux. Les larves sont également bien visibles sur, ou sous les feuilles du callistemon. Une attaque importante peut entraîner un dépérissement de la plante, même sur les sujets adultes.
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