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Les déchets font partie de notre vie. Même si on tend de plus en plus à les réduire au strict minimum, il en reste néanmoins toujours quoi qu'il arrive. Le carton en fait partie.
Et force est de constater qu'on croule rapidement sous des tonnes de carton si on n'y prend pas garde. Surtout si on commande des plantes en ligne !
Heureusement, tout ce carton peut être réutilisé au jardin pour plusieurs utilisations : paillage, création de nouvelles parcelles, compost...
Ce type de matériau fait désormais un véritable... carton au jardin. Découvrez comment l'utiliser.
Le plus brut possible ! Du carton brun non traité et présentant le moins d'inscriptions possibles, voire pas du tout. En effet, les encres renferment des composés chimiques, dont des métaux lourds, qui pollueront votre sol. N'utilisez jamais de carton blanc ou coloré pour les mêmes raisons. Vous devrez enlever aussi du carton tout ce qui n'est pas biodégradable comme les agrafes, le ruban adhésif...
On ne le dira jamais assez : ne laissez pas votre sol à nu !
L'idéal est donc de planter beaucoup et serré, d'utiliser des plantes couvre-sols ou, lorsque ce n'est pas possible (au potager par exemple), de déposer sur le sol nu un bon paillage. Les bénéfices du paillage sont multiples : garder l'humidité du sol, améliorer la structure du sol, éviter le tassement et le lessivage du sol et réduire la prolifération des adventices.
Pour le paillis, vous avez le choix : paille, BRF (Bois Raméal Fragmenté), paillette de lin, broyat de miscanthus, écorce... et, je vous le donne en mille, le CARTON.
L'utilisation de carton en paillage offre de grands avantages en supplément de ceux de n'importe quel paillis : le carton est gratuit et son recyclage nous débarrasse, le carton est aussi présent toute l'année chez nous à la différence de certains paillis plus saisonniers comme les feuilles mortes ou la tonte de gazon par exemple. En plus, les vers de terre semblent vouer un culte au carton car ils s'empressent de s'en nourrir dès la pose de celui-ci. Le carton constitue une belle source de cellulose pour eux.
La pose de carton en paillage est simple :
Voilà, c'est aussi simple que cela. Pour les plus chipoteurs (comme moi), on peut cacher le carton un peu disgracieux les premiers jours, il faut bien l'avouer, par une fine couche de broyat de branches, de paille ou autres.
Le carton peut aussi venir à votre rescousse pour la création d'une nouvelle parcelle potagère ou d'un nouveau massif. Le bêchage est fastidieux en plus de chambouler la structure et la vie du sol. Pourquoi dans ce cas ne pas laisser les vers de terre et le reste de la vie du sol s'occuper de créer pour vous un terrain propice à la plantation ? Avec du carton, c'est un jeu d'enfant !
Pour la petite histoire... Lorsqu'une amie m'a parlé de cette technique pour la première fois, je restais dubitatif. Comme je ne voulais pas la vexer, j'ai tout de même tenté le coup, persuadé que ça n'aurait pas fonctionné et que j'aurais dû aller rechercher ma bêche et ma houe au printemps suivant. Et pourtant... Un résultat aussi étonnant qu'efficace ! Je n'avais plus qu'à planter directement. Et pourtant, j'ai naturellement chez moi une terre lourde et compacte.
Et les lasagnes dans tout ça ? Je parle évidement des cultures en lasagnes pas de celles dans votre assiette. La technique est simple : on va réaliser sur le sol une alternance de couche de déchets verts et de déchets bruns. Un peu comme si on cultivait directement dans un compost en formation. Le but est de créer rapidement une surface cultivable et fertile. C'est une excellente idée si votre sol est compliqué à cultiver (sol pauvre, sol compact, trop de cailloux...). De plus, cela permet de préparer le terrain pour l'année prochaine sans perdre une année de culture. Une culture en lasagne ne dure qu'un an mais, en dessous le sol sera parfait pour cultiver ou créer un massif par exemple (évidemment, ça ne résout pas un éventuel problème de cailloux...).
Le carton peut donc être employé dans une culture en lasagne. Déjà pour la couche de base, comme vu plus haut, mais aussi pour les couches de déchets bruns. Le carton pourra faire office de "couche brune" en alternance avec les déchets verts.
Oui, tout à fait ! Et le carton est même plutôt bienvenu pour équilibrer le rapport carbone/azote (C/N).
Dans nos jardins particuliers, nous avons souvent beaucoup d'éléments riches en azote (déchets verts) : tonte de pelouse, déchets de cuisine, mauvaises herbes non montées en graines... mais finalement assez peu de déchets bruns à composter comme du bois, de la paille ou des feuilles mortes. Or, un compost pour qu'il se transforme au mieux a besoin de carbone aussi. Le carton, riche en cellulose, est un déchet "brun" et sera parfait pour apporter du carbone et ainsi rééquilibrer votre tas de compost.
→ Pour en savoir plus sur l'art de réussir un compost, suivez les conseils d'Ingrid sur le sujet.
On peut aussi utiliser le carton pour des semis qui réclament du frais pour germer. Vous protéger votre semis grâce au carton, le temps que les jeunes pousses sortent de terre. Il suffit de placer le carton sur le sol ensemencé et de vérifier tous les matins que les germes ne sont pas encore sortis. Si c'est le cas, enlevez vite le carton !
On peut aussi récupérer des lanières de carton pour maintenir des mottes de terreaux. Vous économiserez ainsi des godets en plastique pour vos semis de jeunes plants potagers ou de fleurs avant repiquage. Privilégiez pour cela plutôt du carton ondulé qui souffre moins de l'humidité. Les rouleaux de papier toilette sont aussi très efficaces en plus d'avoir déjà la forme voulue. Évidemment, le carton ainsi employé ne peut qu'être qu'une solution provisoire le temps que la plante pousse suffisamment pour être planté en pleine terre.
Les déchets font partie de notre vie. Même si on tend de plus en plus à les réduire au strict minimum, il en reste néanmoins toujours quoi qu’il arrive. Le carton en fait partie. Et force est de constater qu’on croule rapidement sous des tonnes de carton si on n’y prend pas garde. Surtout si […]
Dans mon quartier, comme partout en France, le samedi après-midi est rythmé par le ronronnement des tondeuses. Et en matière de tonte de pelouse, chacun ses habitudes : il y a ceux qui restent accrochés au bac de ramassage et les autres, adeptes du mulching. Et force est de constater que les "mulcheurs" sont encore très minoritaires. Faute d'information, peut-être… Voyons donc aujourd'hui tout ce qu'il faut savoir sur le mulching !
Lorsqu'on parle de tonte, le mulching 1 consiste à laisser les résidus de tonte sur place, finement broyés. Cette tonte se pratique soit avec une tondeuse destinée exclusivement à cet usage (100 % mulching ou un robot tondeuse) ou équipée d'une option ou d'un kit mulching. La particularité de ces tondeuses est que l'herbe n'est pas simplement éjectée, elle est littéralement hachée en passant plusieurs fois dans le carter grâce à une lame spéciale. Elle est ensuite laissée sur le sol qui la "digère" rapidement.
→ Pour tout savoir sur le semis et l'entretien du gazon, découvrez notre fiche conseil "Avoir un beau gazon, en 10 questions-réponses"
On lit parfois que le mulching n'est pas toujours bon. Je dirais plutôt qu'il n'est pas toujours adapté ! En effet, cette façon de tondre nécessite de prendre quelques précautions :
Au vu des nombreux avantages que comporte le mulching, la pratique peine un peu à se généraliser. Voici, en quelques points, les principales réticences :
Vous l'aurez compris, on ne peut donc pas mulcher correctement avec n'importe quelle tondeuse. Mais, comment choisir sa tondeuse mulching ?
La meilleure tondeuse mulching est celle qui sera adaptée à la superficie, à la nature de votre terrain mais aussi et surtout, à vos habitudes !
Si vous vivez dans une région relativement humide où l'herbe n'est sèche que 2 mois sur 12 ou si votre emploi du temps ne vous permet pas de tondre régulièrement et au moment idéal, nous vous conseillons d'opter pour une tondeuse qui puisse s'utiliser facilement, à la fois en mode ramassage et en mode mulching. Cela vous permettra de vous adapter à chaque situation en une seule et unique manipulation. Cependant, évitez les modèles premiers prix : cette polyvalence nécessite un certain degré de technicité pour obtenir de bon résultats.
Les tondeuses 100 % mulching sont, elles, plutôt réservées aux jardiniers rigoureux et aux professionnels : vous ne pourrez pas l'utiliser de façon aussi souple. Elles sont cependant l'avantage de passer partout et d'être rapides, ce qui est un vrai bon point lorsqu'on tond fréquemment.
Enfin, les tondeuses robot sont idéales si vous souhaitez passer au 100 % mulching sans contrainte : autonomes, elles tondent presque en continu, ce qui, vous l'aurez compris, est idéal en mode mulching !
Pour tout savoir sur le choix d'une tondeuse à gazon : "Comment bien choisir sa tondeuse" et découvrez notre article : 5 bonnes raisons d'adopter une tondeuse manuelle qui est naturellement prédisposée au mulching.
Bon à savoir :
Dans mon quartier, comme partout en France, le samedi après-midi est rythmé par le ronronnement des tondeuses. Et en matière de tonte de pelouse, chacun ses habitudes : il y a ceux qui restent accrochés au bac de ramassage et les autres, adeptes du mulching. Et force est de constater que les « mulcheurs » sont encore très […]
La toile de paillage ou bâche de plantation est devenue, en quelques années, un grand classique des aménagements paysagers. Que ce soit sur le domaine public ou dans les jardins de particuliers, il est rare que le sol n’en soit pas recouvert. Pourquoi ? Pour que les végétaux poussent plus vite, sans entretien, sans désherbage et sans arrosage.
Quel beau programme ! Mais, la bâche tient-elle vraiment ses promesses ? Doit-on en poser ? Je n’irai pas par quatre chemins et, au risque de me mettre à dos tous ceux dont le jardin en est pourvu : la réponse est non et je vous explique pourquoi.
Lorsque l’on plante sur bâche, on assiste généralement à une bonne croissance des végétaux lors des deux ou trois premières années. Les choses se gâtent progressivement ensuite. En effet, le sol, pour conserver sa fertilité a besoin d’être régulièrement amendé. En forêt, c’est un processus naturel d’une simplicité enfantine : les feuilles tombent de l’arbre, elles se décomposent créant ainsi de l’humus.
Sur un sol couvert d’une bâche, le processus est bloqué puisque la toile fait barrière aux éléments en décomposition. Il en résulte un appauvrissement de la terre qui déclenche, à terme, un manque d’éléments nutritifs pour les végétaux. À moyen ou long terme, le sol perd sa vie et mis au régime strict, arbres et arbustes finissent par s’affaiblir. Certains tomberont malades… à en mourir prématurément.
Concernant l’arrosage, oui, la bâche retient l’humidité, mais pas plus que le paillage organique… voire moins car l’eau des pluies à tendance à glisser et s’infiltre moins vite, ce qui prive la terre des bénéfices d’une bonne averse.
J’en fais l’expérience chaque jour. Dans ma rue, deux massifs ont été plantés au même moment : le mien et celui de la commune. J’ai paillé avec du broyat d’élagage, ils ont posé une bâche.
La première année, j’ai eu un peu de travail, certes (ils rigolaient...). Mais cela fait deux ans je n’y interviens presque plus alors que l’équipe espaces verts de ma commune y passe au moins une heure par mois (et là, c'est moi qui rigole !). Pourquoi ? Simplement parce que dans mon massif, le désherbage est facile : je n’ai qu’à tirer sur les intruses pour les déloger avec leurs racines. Pendant ce temps, mes amis de la commune luttent pour extraire celles qui s’infiltrent dans le moindre interstice.
Enfin, en observant ce qui se passe sur la toile de paillage à long terme, on s’aperçoit que rapidement, les feuilles qui tombent finissent, en se décomposant à la surface, par former un substrat prêt à accueillir la moindre graine : si les adventices ont un peu de mal à pousser sous la bâche, elles se fraient facilement un passage et elles poussent même très bien dessus !
La preuve, ces images, banales, mais très parlantes :
Pour avoir expérimenté la pose de bâche, dans les règles de l'art, au cours d’un stage chez un paysagiste (les quinze jours les plus longs de ma vie), je vous le dis : c’est particulièrement difficile. Malgré mes quelques notions de couture, l’adapter à la forme du massif, la disposer de façon à ce que toute la surface soit couverte est loin d’être une partie de plaisir. Le pire étant certainement d’avoir à planter dedans : il faut ménager une ouverture en croix à l’aide d’un cutter, mais il ne faut pas qu’elle soit trop grande… On y glisse la motte et il est impossible de vérifier que la plante est bien au contact de la terre et au bon niveau !
Enfin, pour des raisons économiques, les toiles de paillage sont rarement recouvertes d’un paillage décoratif. Et forcément, c’est moche... surtout quand elles s'effilochent !
Lorsque l’on a peu de temps à consacrer à son jardin et que l’on n’est pas un grand fan du désherbage, comment faire ? C’est assez simple : tout d’abord, ne faites pas l’impasse sur la préparation : désherbez et décompactez soigneusement la zone de plantation en extirpant le maximum de racines (vous avez le droit de maudire le chiendent !). Ajoutez un peu de compost, plantez, arrosez puis paillez généreusement avec une épaisse couche de paillage organique (du commerce, type Fibralgo, écorce pour les plantes de bruyère, broyat, paille…). Il se décomposera tranquillement en fertilisant la terre. Au bout d’un an, renouvelez le paillage si besoin et une fois les végétaux bien installés, vous pourrez, au choix :
Ainsi, vous n’aurez pas plus d’entretien que si vous aviez posé une bâche et vous plantes se porteront à merveille.
Pailler une très grande surface ou une longue haie nécessite le déplacement d’un gros volume de paillage. Si vous n’êtes pas un aficionado de la brouette, la toile de paillage biodégradable est une bonne alternative. Elle reste plus chère, mais offre l’avantage d’être plus esthétique, plus respectueuse de l’environnement et surtout, elle se décompose naturellement ! En fibre de coco ou en jute, elle permet une bonne croissance des végétaux. C’est aussi, en association avec des plantes vivaces adaptées, des arbustes couvre-sol, une bonne solution pour végétaliser les endroits difficiles comme les talus.
Pour conclure, sachez que si vous avez de la bâche dans votre jardin, il n’est jamais trop tard pour bien faire : n’hésitez pas à la retirer et à installer un paillage nourricier à la place… vos plantes vous remercieront !
La toile de paillage ou bâche de plantation est devenue, en quelques années, un grand classique des aménagements paysagers. Que ce soit sur le domaine public ou dans les jardins de particuliers, il est rare que le sol n’en soit pas recouvert. Pourquoi ? Pour que les végétaux poussent plus vite, sans entretien, sans désherbage et […]