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Bien que proche botaniquement des conifères, le Ginkgo biloba ou « arbre aux quarante écus » est pourtant un arbre à feuillage caduc. Il est le dernier représentant encore en vie de sa famille, les ginkgoacées. Proche des conifères par ses fleurs, ressemblant à un « simple » arbre caduc par ses feuilles et muni d’un mode de reproduction qui s’apparente à celui des fougères, le Ginkgo biloba est véritablement une curiosité botanique.
On le plantera au jardin en isolé ou en fond de massif (pour ceux au port fastigié) pour son feuillage graphique arborant une belle couleur jaune doré en automne. Mais on l’utilise aussi beaucoup en bonsaï ou en collection de mini-conifères (bien que ce n’en est pas un !) pour les cultivars nains.
Le Ginkgo biloba est un arbre d’une résistance remarquable. Il ne connaît pas de maladies ou prédateurs connus et il résiste admirablement à la pollution. Il pousse au soleil dans tous sols ordinaires, même calcaires, frais et drainés.
Bien que proche botaniquement des conifères, le Ginkgo biloba ou « arbre aux quarante écus » est pourtant un arbre à feuillage caduc. Il est le dernier représentant encore en vie de sa famille, les ginkgoacées. Proche des conifères par ses fleurs, ressemblant à un « simple » arbre caduc par ses feuilles et muni d’un mode de reproduction qui s’apparente à celui des fougères, le Ginkgo biloba est véritablement une curiosité botanique.
On le plantera au jardin en isolé ou en fond de massif (pour ceux au port fastigié) pour son feuillage graphique arborant une belle couleur jaune doré en automne. Mais on l’utilise aussi beaucoup en bonsaï ou en collection de mini-conifères (bien que ce n’en est pas un !) pour les cultivars nains.
Le Ginkgo biloba est un arbre d’une résistance remarquable. Il ne connaît pas de maladies ou prédateurs connus et il résiste admirablement à la pollution. Il pousse au soleil dans tous sols ordinaires, même calcaires, frais et drainés.